Cet hiver, CONTINUITÉ s’intéresse au vaste territoire forestier du Québec et à sa valeur patrimoniale. Plongez au cœur de sa forêt, de sa sauvegarde et de ses savoir-faire!

Si les forêts recouvrent plus de la moitié du Québec, peut-on dire qu’il s’agit de notre plus large patrimoine ? La richesse de notre territoire réside dans ses forêts, dans les nombreux savoir-faire traditionnels qui y sont associés et dans les acteurs qui en assurent la préservation.

Ce dossier sera l’occasion pour nos lecteurs de connecter avec la forêt et ses multiples facettes. Les différents articles présenteront l’histoire du patrimoine forestier au Québec; offriront une incursion au sein de nos forêts vierges et de ses écosystèmes exceptionnels, en plus de se pencher sur leur préservation; permettront d’admirer des inventaires aériens et notre territoire vu du ciel; feront découvrir le congé culturel de la communauté atikamekw, une initiative visant à transmettre à sa relève ses traditions liées au territoire; suivront la trace d’un savoir-faire traditionnel : le pistage d’animaux sauvages. De plus, un texte en exclusivité web présentera l’histoire du Mois de l’arbre et des forêts au Québec.

Entente avec l’ADGMRCQ

En vertu de l’entente entre les éditions CONTINUITÉ et l’ADGMRCQ, deux articles par année portant sur des initiatives de MRC en matière de patrimoine seront publiés. Nous vous invitons dès maintenant à nous faire part de votre intérêt de soumettre un article au cours de la présente année.

De plus, l’entente permet à tout membre du personnel d’une MRC, dont le directeur général est membre de l’ADGMRCQ, de bénéficier d’un abonnement institutionnel annuel au tarif préférentiel de 55.00$ par année, incluant les taxes (au lieu de 64,39$).

Voici le lien pour profiter de la promotion : https://docs.google.com/forms/d/16ylRF7skZbmbWcao9KIS2fJtMnbVMtGK3czW_doC0aQ

Source: Éditions CONTINUITÉ

Les MRC d’Argenteuil, des Pays-d’en-Haut, des Laurentides, Brome-Missisquoi et de Memphrémagog ont mandaté l’agence Raymond Chabot Grant Thornton pour réaliser une étude sur l’impact de la villégiature sur les municipalités comptant une proportion importante de résidences secondaires sur leur territoire. Ces cinq MRC ont la chance d’avoir une proportion significative de villégiateurs, reflet de l’attractivité et la vitalité de leur territoire respectif.

Cette étude vise à présenter la place et le rôle que jouent les résidents secondaires au sein des municipalités. Au terme de l’étude, elle sert aussi à démontrer que cette population devrait être prise en compte dans l’évaluation des besoins et des services et donc doivent également faire partie de la population totale dans les programmes de soutien du gouvernement lors de l’octroi des financements qui, actuellement, intègrent seulement les résidents permanents. Afin d’avoir le portrait le plus fidèle possible, les villégiateurs ont été sondés par la plus grande firme de sondage et marketing analytique au Québec, la firme Léger. Ce sondage a bénéficié d’un très bon taux de participation de la part des résidents secondaires.

Contexte

La pandémie de Covid-19 a eu des effets importants sur les modes de vie comme la normalisation du télétravail et l’installation permanente de certains résidents vers leur lieu d’habitation secondaire. Au cours des dernières années, ce phénomène de Villégiaturbanisation a été très marqué dans les régions des Laurentides et de l’Estrie, notamment. La demande pour les biens et services a donc évolué, impactant les coûts des services publics et municipaux. Cette étude permet de connaitre l’impact de ces évolutions sur les municipalités, d’établir un portrait de la situation actuelle et de prendre en considération les pistes de réflexions.

GRANDS CONSTATS

Démographie

  • Croissance de la population permanente : de 8 % à 16 % entre 2011 et 2021, moyenne supérieure à la province, qui a crû de 8 % pour la même période. Cette croissance devrait se poursuivre d’ici 2041, avec une augmentation prévisionnelle de 15 à 26 %.
  • Hausse de la proportion des personnes âgées qui devrait s’accentuer d’ici 2041. Moyenne également supérieure à l’ensemble du Québec.
  • Hausse des nouveaux arrivants durant la pandémie.

Emploi

  • Surreprésentation de certains secteurs d’emploi :
    • construction,
    • fabrication,
    • tourisme,
    • restauration, hébergement, art, culture, information.
  • Le taux de chômage au Québec est très faible, il l’est encore plus dans la région des Laurentides.
  • Les emplois soutenus par le secteur de la villégiature sont souvent des emplois précaires de par leur saisonnalité ou le fait qu’ils disposent de salaire parfois plus faible que d’autres types d’emplois.

Revenu

  • Disparité salariale : les ménages habitant à l’année dans les MRC ont un revenu inférieur à celui des résidents secondaires.
  • Les MRC bénéficient d’un bon indice de vitalité économique, qui se base uniquement sur la population permanente. Cet indice serait plus positif s’il incluait les résidents secondaires.

Logements, habitation, immobilier

  • Augmentation du nombre de logements d’en moyenne 10 %, comme pour l’ensemble du Québec. La MRC Brome Missisquoi se démarque avec une hausse de 17 %.
  • Les MRC sont dépendantes de la valeur foncière résidentielle et disposent d’une forte part de la RFU associée à la villégiature.
  • Il y a une forte proportion de maisons individuelles et 60 % des ménages sont propriétaires en 2021.
  • Pression sur les logements : le marché immobilier a connu une hausse temporaire des ventes pendant la pandémie. Le volume des ventes a diminué en 2022, mais pas les prix.
  • L’Estrie et les Laurentides totalisent 16 % des ventes au Québec en 2022.
  • Les MRC à l’étude affichent une proportion de résidences secondaires plus élevée que la moyenne du Québec.

Programmes ou dépenses qui ne tiennent pas compte des résidents secondaires

  • Financement de la Sûreté du Québec
  • Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ)
  • Programme sur la redistribution aux municipalités des redevances pour l’élimination de matières résiduelles
  • Régime de compensation pour la collecte sélective des matières recyclables
  • RénoRégion (aide à la rénovation résidentielle)

Les régions de villégiature attirent un grand nombre de touristes, cela contribue au développement économique des MRC car elle stimule l’emploi local, réduit le taux de chômage et apporte des sources de revenus supplémentaires (taxes de séjours, loisirs, restauration, etc.). Cependant, la villégiature créée une pression sur les infrastructures municipales, notamment les routes, l’eau potable, les systèmes d’assainissement et les services de santé. Cela génère également des coûts supplémentaires pour les municipalités comme la sécurité publique et la gestion des plans d’eau.

Conclusion

Les MRC font face à deux défis majeurs : une population vieillissante qui doit composer avec des revenus inférieurs à la moyenne québécoise et répondre aussi bien aux demandes des résidents permanents que secondaires qui amplifient la pression sur les infrastructures et l’ensemble des services municipaux. Bien que la villégiature apporte certains revenus fonciers, les municipalités font face à des défis financiers importants pour assurer le bien-être de tous les résidents et répondre aux besoins des résidents permanents et des villégiateurs.

La non prise en compte des résidents secondaires dans certains programmes de soutien du gouvernement du Québec désavantage ces municipalités et impacte donc le calcul de certaines aides financières, notamment le programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ), le programme sur la redistribution aux municipalités des redevances pour l’élimination de matières résiduelles, le régime de compensation pour la collecte sélective des matières recyclables et le programme RénoRégion.

Ainsi, il pourrait être intéressant pour les ministères et organismes québécois de revoir les formules qui sont utilisées pour établir les contributions financières attribuées aux municipalités dans le cadre des différents programmes, afin d’y intégrer un facteur relatif au nombre total de résidents. La contribution pourrait notamment inclure le nombre de villégiateurs dans le calcul afin d’être plus équitable entre les municipalités. Certaines modalités d’octroi du financement pourraient aussi être revues pour tenir compte de la réalité de certains territoires de villégiature.

Source : MRC Les Laurentides

Suivant l’adoption du Plan régional des milieux naturels en mai dernier, le conseil de la MRC s’engage ainsi à conserver :

  • Près de 15 000 hectares de milieux humides (ouverts et boisés);
  • Plus de 15 000 hectares de secteurs forestiers couvrant certains des derniers grands massifs boisés en importance dans le sud du Québec.

Cette mesure réglementaire ambitieuse témoigne de l’engagement continu des élus de Brome-Missisquoi envers la protection de la biodiversité, le maintien des corridors écologiques et la préservation des écosystèmes naturels qui enrichissent la région.

En résumé, le RCI met en place quatre nouvelles mesures visant à éviter la perte de milieux humides et la fragmentation à l’intérieur des secteurs forestiers d’intérêt exceptionnel :

Milieux humides d’intérêt :

  1. Interdiction de remblai ou de déblai dans les milieux humides d’intérêt (sauf certaines exceptions);
  2. Réalisation d’une étude de caractérisation écologique préalablement à tout projet de construction ou de lotissement situés à moins de 30 mètres d’un milieu humide d’intérêt;

Secteurs forestiers d’intérêt exceptionnel :

  1. Interdiction de prolonger ou de créer des rues ou de réaliser un projet d’ensemble résidentiel à l’intérieur des secteurs forestiers visés (niveau 1);
  2. Réalisation d’une étude de caractérisation écologique préalablement aux projets de construction (si déboisement de plus de 500 mètres carrés) à l’intérieur des secteurs forestiers concernés (niveau 1).
Normes existantes relatives aux milieux humides

Il est essentiel de rappeler que la MRC prévoit déjà certaines mesures de protection des milieux humides par le biais de son schéma d’aménagement et des règlements d’urbanisme des municipalités, dont :

  1. Une bande de protection riveraine (zone tampon) applicable à l’ensemble des milieux humides du territoire;
  2. L’obligation de réaliser une étude de caractérisation écologique permettant l’identification et la délimitation des milieux humides et hydriques avant certains projets de développement.

Pour assurer une mise en œuvre efficace de ces mesures de préservation, la MRC  s’engage à collaborer avec les communautés locales. Au cours des prochains mois, la MRC rendra disponibles des fiches explicatives sur son site Web et d’autres activités de communication sont à prévoir.

Pour plus d’information sur le règlement de contrôle intérimaire (RCI) 07-0823, veuillez consulter la page Schéma d’aménagement du site Internet de la MRC.

Source : MRC Brome-Missisquoi

L’ancien centre administratif de la MRC, qui avait atteint sa durée de vie utile, a été remplacé par une construction plus moderne, écoresponsable, à accessibilité universelle et adapté aux besoins croissants de l’organisation municipale. Ce bâtiment a été réalisé de manière visionnaire. En effet, tout a été réfléchi pour s’assurer de répondre aux besoins à travers le temps. Son architecture permet une grande polyvalence et de multiples configurations.

UNE CERTIFICATION LEED OR VISÉE

De la sélection des matériaux, en passant par l’aménagement écologique du site et l’économie d’eau potable, tout a été pensé afin de réduire au maximum l’empreinte énergétique du bâtiment. À cet effet, la MRC vise nulle autre que la certification LEED or pour son centre administratif et est confiante que tous les éléments ont été respectés pour obtenir ce niveau de certification.

Parmi les faits saillants du bâtiment, notons la toiture qui est recouverte de roches blanches pour combattre les îlots de chaleur, l’eau des toilettes et des urinoirs qui provient d’un réservoir de récupération de l’eau de pluie, le stationnement qui comprend six  bornes de recharge pour véhicules électriques, ainsi qu’un système de chauffage qui fonctionne par boucle géothermique et qui permet de puiser ou de rejeter la chaleur excédentaire du bâtiment à même celui-ci; la façon de faire la plus économique au niveau énergétique.

Source : MRC La Haute-Yamaska

Le Manuel est mis à jour annuellement ou au besoin. L’information financière est regroupée dans des chapitres homogènes portant sur l’état des résultats, les éléments de conciliation à des fins fiscales et l’état de la situation financière. Ces chapitres sont précédés d’un chapitre sur la présentation de l’information financière. Un dernier chapitre, intitulé Outils de gestion et renseignements supplémentaires, contient les éléments qui ne concernent pas de façon prépondérante un des chapitres précédents. Le résumé de la mise à jour indique, pour chaque chapitre les principales modifications apportées au Manuel.

Source : MAMH

Le gouvernement du Québec lance le programme Développement économique pour l’aide à la redynamisation des territoires (DÉPART). Cette initiative, dotée d’une enveloppe de 75 millions de dollars, vise à diversifier et à renforcer les activités des entreprises afin de revitaliser 25 municipalités régionales de comté (MRC) du Québec, dont celles de la région administrative de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

Administré par Investissement Québec comme mandataire du gouvernement, le programme DÉPART s’adresse aux PME et aux entreprises collectives situées dans :

  • les MRC se trouvant dans le dernier quintile du classement, selon l’indice de vitalité économique des territoires de l’Institut de la statistique du Québec;
  • les MRC de la région administrative de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine;
  • les MRC des Appalaches et du Granit;
  • les communautés autochtones à proximité du périmètre territorial des MRC admissibles.

Il s’inscrit dans la continuité des objectifs du Fonds d’aide aux initiatives régionales (FAIR) et des quatre fonds de diversification économique, mis en place par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie. Ces fonds sont échus depuis le 31 mars 2023.

Source : Gouvernement du Québec

C’est avec reconnaissance que la MRC de La Matanie annonce le départ à la retraite de sa directrice générale et greffière-trésorière, Madame Line Ross, après vingt années de dévouement exceptionnel au service de sa communauté.

Mme Ross a cumulé de nombreuses réalisations au cours de sa carrière.  Elle a également participé au conseil d’administration de l’Association des directeurs généraux des MRC du Québec (ADGMRCQ) et a siégé sur plusieurs comités et commissions de la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Elle a participé au comité de négociation pour le renouvellement des ententes de desserte de la Sûreté du Québec avec les MRC de la province, aux côtés du ministère de la Sécurité publique, de la SQ et d’élus représentant la FQM et l’Union des municipalités du Québec (UMQ).

Monsieur Olivier Banville, actuel directeur général adjoint et directeur de l’aménagement et de l’urbanisme à la MRC, qui prendra la relève de Mme Ross dès le 5 janvier prochain.

Dans le cadre du nouveau partenariat entre le gouvernement du Québec et les gouvernements de proximité, l’Assemblée nationale a procédé à l’adoption du projet de loi 39 modifiant la Loi sur la fiscalité municipale et d’autres dispositions législatives.

Cette modification législative contribuera à moderniser le régime fiscal municipal et à innover dans les pratiques à cet égard. Les mesures permettront notamment de donner plus d’autonomie et de nouveaux pouvoirs aux municipalités en matière de fiscalité, ainsi que de diversifier leurs sources de revenus, ce qui permettra de réduire leur dépendance à la taxe foncière. Le gouvernement vient donc répondre à une demande de longue date des gouvernements de proximité.

Plusieurs gains pour les municipalités

Parmi les mesures phares attendues du milieu municipal, figure la pérennisation du partage de la croissance d’un point de la TVQ aux gouvernements de proximité. Ce transfert se traduira par des centaines de millions de dollars par année. Seulement entre 2020 et 2024, le gouvernement leur aura transféré un total de 826 M$, qui auront permis de financer leurs services et leurs infrastructures.

Au-delà de ce gain, le projet de loi permettra concrètement de réaliser plusieurs avancées. Pour n’en nommer que quelques-unes, il vise notamment à :

  • à rendre plus flexible la fiscalité municipale en donnant davantage de pouvoirs aux villes;
  • à diversifier les sources de financement du transport collectif;
  • à renforcer les règles entourant les offices de consultation publique;
  • à accorder plus de pouvoirs aux municipalités et aux MRC pour accélérer la construction de logements;
  • à alléger le fardeau financier des acheteurs en permettant l’étalement du paiement du droit sur les mutations immobilières, et ce, sans intérêts;
  • ainsi qu’à permettre aux municipalités d’effectuer des achats dans des commerces de proximité ou auprès de certaines entreprises de services pour lesquels un membre du conseil ou un employé municipal a un intérêt direct ou indirect.

Un pas de géant dans la protection des milieux naturels

L’article 245 mentionne qu’une atteinte au droit de propriété est réputée justifiée si les réglementations adoptées par les municipalités visent la protection de milieu humide et hydrique ou d’un milieu à une valeur écologique importante. Cet article est déclaratoire, donc il s’applique à tous les dossiers actuellement devant les tribunaux. Un élément majeur pour la Communauté métropolitaine de Montréal, qui a accumulé les poursuites. À ce jour, les dossiers intentés pour expropriation déguisée avoisinent le milliard de dollars.

Les municipalités québécoises pourront ainsi protéger leurs milieux naturels sans craindre d’être poursuivies par les propriétaires: les changements de réglementation pour la protection du territoire ne seront plus considérés comme des expropriations déguisées. Cette nouvelle législation permet aux municipalités de respecter l’engagement de Québec de protéger 30 % de son territoire d’ici 2030, mais également d’épargner des millions de dollars en poursuites judiciaires.

Ces changements législatifs, d’abord inscrits au projet de loi 22 sur la Loi sur l’expropriation du ministère des Transports, ont été rapatriés sous l’égide du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation. Cet enjeu touchant directement les municipalités, ces nouvelles dispositions ont donc été ajoutées au projet de loi 39 modifiant la Loi sur la fiscalité.

L’ADGMRCQ a le plaisir d’offrir à nouveau à ses membres et à leurs gestionnaires l’opportunité de faire partie d’une troisième cohorte de formation de ce programme élite de certification à tarif exclusif de 1995$ (tarif régulier de 5595$) tout en favorisant le réseautage entre ses membres provenant des MRC du Québec. Le premier groupe exclusif mis sur pied a été un réel succès. De ce groupe a découlé une deuxième cohorte cet hiver qui est complet. De plus il y a déjà  dix inscriptions pour un troisième groupe au printemps 2024.

Unique en son genre, ce programme de Certification en leadership et habiletés de direction offert conjointement avec l’Institut de leadership du Québec et la Formation continue de l’Université Concordia a été élaboré en collaboration avec des enseignants et des chefs de file dans leur milieu.

Cette certification a pour objectif principal de développer des leaders efficaces aptes à mobiliser des équipes, à régler des conflits, à affronter le changement avec compétence et à relever les défis auxquels leur propre organisation est confrontée tout en favorisant un climat propice et favorable aux échanges des meilleures pratiques et réseautage entre participants.

Clientèle cible: Cette certification est destinée aux individus qui occupent des postes à responsabilités et/ou de gestion.

  • 37 HEURES DE FORMATION EN LIGNE (en 10 demi-journées)
  • 6 FORMATEURS ET 5 INTERVENANTS DE RENOM
  • 1 DIPLÔME OFFERT PAR L’INSTITUT DE LEADERSHIP EN PARTENARIAT AVEC L’UNIVERSITÉ CONCORDIA

Vous pouvez nous faire connaître votre intérêt à cette certification en communiquant directement avec Mme Marie-Claude Viau à l’adresse suivante mcviau@institutleadership.ca , en mentionnant que vous êtes membres de l’ADGMRCQ.

Certification en leadership et habiletés de direction

LA GESTION PAR LES FORCES

  • Comprendre ce qu’est une force.
  • Connaître les moyens d’identifier les forces de ses clients/de son personnel.
  • Connaître ses propres forces (passation préalable d’un questionnaire gratuit disponible sur Internet) et mieux les mettre à profit.
  • Réaliser les étapes pour développer l’utilisation des forces au travail.
  • Prendre connaissance de différentes implantations de la gestion par les forces en milieux réels.

LES HABILETÉS DE COMMUNICATION

  • Communiquer de façon claire et significative la vision et les résultats attendus.
  • Rendre ses présentations orales et écrites plus efficaces et plus convaincantes.
  • Se préparer pour une présentation devant des collègues, des patrons, un client ou le conseil d’administration.
  • Se démarquer et augmenter ses chances de faire bonne impression et d’influencer son auditoire.
  • Consolider son équipe grâce à une communication relationnelle.

LA GESTION DU STRESS ET L’INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE

  • Modèle de gestion de l’anxiété et de négativité au travail.
  • Fournir des outils avancés de communication verbale et non verbale et désynchronisation du message. Comprendre le phénomène de « court circuit » du cerveau rationnel.
  • Reconnaître les symptômes du stress et leur impact sur la santé, les fonctions intellectuelles et la capacité de résoudre des problèmes.
  • Identifier les meilleures approches pour gérer les situations stressantes.
  • Identifier des stratégies internes et externes pour demeurer concentré, gérer les frustrations et prendre les meilleures décisions.

LA MOBILISATION DES ÉQUIPES

  • Développer des relations, mobiliser et encadrer les employés.
  • Accroître le niveau de performance d’une équipe.
  • Stimuler et appuyer ses employés afin qu’ils atteignent leurs différents objectifs.
  • Réussir à développer des leaders dans son organisation.
  • Inspirer et diriger dans des circonstances difficiles.
  • Réussir à augmenter constamment l’engagement et la productivité de son équipe.
  • Créer un climat de travail mobilisateur pour son équipe.
  • Reconnaître l’importance de la reconnaissance pour la performance de l’organisation.
  • Comprendre les caractéristiques fondamentales de la bonne reconnaissance.
  • Implanter de façon judicieuse ces pratiques au sein de son organisation.

LE COACHING D’ÉQUIPE

  • Qu’est-ce que le coaching d’équipe?
  • Utiliser les notions de neurosciences pour maximiser les liens interpersonnels.
  • Comment maintenir une mentalité de croissance.
  • Développer des liens de confiance, même à distance.
  • Se familiariser avec des pratiques qui favorisent l’excellence des équipes.
  • Ingrédients essentiels pour démarrer son équipe virtuelle.
  • Le coaching à distance.
  • Les meilleures pratiques de reconnaissance et de rétroaction.
  • Maintenir la motivation et la mobilisation: le principe du progrès.

LES HABILETÉS POLITIQUES ET L’INFLUENCE

  • Réussir à influencer les différents intervenants de son organisation.
  • Faire accepter ses différentes demandes auprès de la direction de son organisation et auprès de ses partenaires.
  • Connaître les meilleures stratégies pour devenir un acteur efficace au sein de son organisation.
  • Connaître les meilleures techniques pour créer des alliances stratégiques et les faire durer.
  • Faire valoir ses idées et rallier les différents intervenants autour de ses projets.
  • Devenir un acteur stratégique et éthique.
  • Réussir à exercer son influence en situation complexe.

LE COURAGE MANAGÉRIAL

  • Améliorer la notion de courage managérial et de son importance.
  • Apprécier son propre degré de courage et identifier les éléments à améliorer.
  • Mettre en œuvre des outils d’impact et de prise de décision.
  • Favoriser le courage en équipe.
  • Contribuer positivement au développement d’une culture de courage.