L’ADGMRCQ et l’ADDELQ ont le plaisir d’offrir à leurs membres et à leurs gestionnaires l’opportunité de suivre ce programme élite de certification à tarif exclusif de 1995$ (tarif régulier de 5595$) tout en favorisant le réseautage entre ses membres provenant des MRC du Québec.

Unique en son genre, ce programme de Certification en leadership et habiletés de direction offert conjointement avec l’Institut de leadership du Québec et la Formation continue de l’Université Concordia a été élaboré en collaboration avec des enseignants et des chefs de file dans leur milieu.

Cette certification a pour objectif principal de développer des leaders efficaces aptes à mobiliser des équipes, à régler des conflits, à affronter le changement avec compétence et à relever les défis auxquels leur propre organisation est confrontée tout en favorisant un climat propice et favorable aux échanges des meilleures pratiques et réseautage entre participants.

Clientèle cible: Cette certification est destinée aux individus qui occupent des postes à responsabilités et/ou de gestion.

  • 37 HEURES DE FORMATION EN LIGNE
  • 6 FORMATEURS ET 5 INTERVENANTS DE RENOM
  • 1 DIPLÔME OFFERT PAR L’INSTITUT DE LEADERSHIP EN PARTENARIAT AVEC L’UNIVERSITÉ CONCORDIA

Vous pouvez nous faire connaître votre intérêt à cette certification en cliquant sur le lien de sondage suivant : https://fr.surveymonkey.com/r/QXZCSD6

Certification en leadership et habiletés de direction

LA GESTION PAR LES FORCES

  • Comprendre ce qu’est une force.
  • Connaître les moyens d’identifier les forces de ses clients/de son personnel.
  • Connaître ses propres forces (passation préalable d’un questionnaire gratuit disponible sur Internet) et mieux les mettre à profit.
  • Réaliser les étapes pour développer l’utilisation des forces au travail.
  • Prendre connaissance de différentes implantations de la gestion par les forces en milieux réels.

LES HABILETÉS DE COMMUNICATION

  • Communiquer de façon claire et significative la vision et les résultats attendus.
  • Rendre ses présentations orales et écrites plus efficaces et plus convaincantes.
  • Se préparer pour une présentation devant des collègues, des patrons, un client ou le conseil d’administration.
  • Se démarquer et augmenter ses chances de faire bonne impression et d’influencer son auditoire.
  • Consolider son équipe grâce à une communication relationnelle.

LA GESTION DU STRESS ET L’INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE

  • Modèle de gestion de l’anxiété et de négativité au travail.
  • Fournir des outils avancés de communication verbale et non verbale et désynchronisation du message. Comprendre le phénomène de « court circuit » du cerveau rationnel.
  • Reconnaître les symptômes du stress et leur impact sur la santé, les fonctions intellectuelles et la capacité de résoudre des problèmes.
  • Identifier les meilleures approches pour gérer les situations stressantes.
  • Identifier des stratégies internes et externes pour demeurer concentré, gérer les frustrations et prendre les meilleures décisions.

LA MOBILISATION DES ÉQUIPES

  • Développer des relations, mobiliser et encadrer les employés.
  • Accroître le niveau de performance d’une équipe.
  • Stimuler et appuyer ses employés afin qu’ils atteignent leurs différents objectifs.
  • Réussir à développer des leaders dans son organisation.
  • Inspirer et diriger dans des circonstances difficiles.
  • Réussir à augmenter constamment l’engagement et la productivité de son équipe.
  • Créer un climat de travail mobilisateur pour son équipe.
  • Reconnaître l’importance de la reconnaissance pour la performance de l’organisation.
  • Comprendre les caractéristiques fondamentales de la bonne reconnaissance.
  • Implanter de façon judicieuse ces pratiques au sein de son organisation.

LE COACHING D’ÉQUIPE

  • Qu’est-ce que le coaching d’équipe?
  • Utiliser les notions de neurosciences pour maximiser les liens interpersonnels.
  • Comment maintenir une mentalité de croissance.
  • Développer des liens de confiance, même à distance.
  • Se familiariser avec des pratiques qui favorisent l’excellence des équipes.
  • Ingrédients essentiels pour démarrer son équipe virtuelle.
  • Le coaching à distance.
  • Les meilleures pratiques de reconnaissance et de rétroaction.
  • Maintenir la motivation et la mobilisation: le principe du progrès.

LES HABILETÉS POLITIQUES ET L’INFLUENCE

  • Réussir à influencer les différents intervenants de son organisation.
  • Faire accepter ses différentes demandes auprès de la direction de son organisation et auprès de ses partenaires.
  • Connaître les meilleures stratégies pour devenir un acteur efficace au sein de son organisation.
  • Connaître les meilleures techniques pour créer des alliances stratégiques et les faire durer.
  • Faire valoir ses idées et rallier les différents intervenants autour de ses projets.
  • Devenir un acteur stratégique et éthique.
  • Réussir à exercer son influence en situation complexe.

LE COURAGE MANAGÉRIAL

  • Améliorer la notion de courage managérial et de son importance.
  • Apprécier son propre degré de courage et identifier les éléments à améliorer.
  • Mettre en œuvre des outils d’impact et de prise de décision.
  • Favoriser le courage en équipe.
  • Contribuer positivement au développement d’une culture de courage.

La MRC Avignon lance la plateforme À ton Avis?, un outil de participation publique en ligne, afin de mieux intégrer la population de son territoire dans le développement de projets qui lui ressemblent.

En 2020, un diagnostic de l’attractivité du territoire de la MRC Avignon a été réalisé dans le cadre de la planification stratégique territoriale 2019-2023. La participation publique y est identifiée comme un levier pour l’établissement des 18-45 ans sur le territoire. La MRC Avignon s’est donc mise en action pour s’outiller de façon à mieux intégrer la participation publique à sa gestion de projets et à ses processus décisionnels.

Dans un premier temps, en 2021 et 2022, l’équipe et les membres du conseil de la MRC ont suivi des formations sur le sujet. Celles-ci ont permis de comprendre les bases de la participation publique et d’en connaître les processus et les impacts. L’accompagnement d’un formateur expert dans le domaine est d’ailleurs maintenu pour l’année 2023 afin de bien intégrer ces concepts et processus et d’orienter la MRC dans la planification, la programmation et le suivi de ses premières démarches auprès de la population.

Forte de ces nouvelles compétences et des expériences de la pandémie de COVID-19 qui a permis de s’approprier des modes de communications virtuels et hybrides, la MRC a décidé en 2022 de se doter d’un outil numérique permettant de mener des démarches de participation publique en ligne et de compiler des avis et suggestions de sa population concernant différents sujets : la plateforme À ton Avis?. Celle-ci sera complémentaire à d’autres méthodes de participation afin de rejoindre le mieux possible les différents groupes de population.

Dès le 28 février 2023, la population de la MRC Avignon pourra découvrir ce nouvel outil en visitant atonavis.cocoriko.org, où il est possible de créer son compte afin de pouvoir interagir sur la plateforme. Une première démarche de participation publique concernant l’amélioration du programme Osons Vert, par lequel les municipalités locales offrent des subventions à l’achat de certains produits écoresponsables, est d’ailleurs en ligne jusqu’au 31 mars sur À ton Avis? pour permettre aux personnes qui le souhaitent d’explorer les fonctionnalités de ce nouvel outil.

Les personnes qui souhaitent avoir de l’information complémentaire ou qui ont besoin de soutien technique peuvent contacter l’équipe responsable de la participation publique à la MRC au atonavis@mrcavignon.com ou appeler Aude Buévoz au 418 364-2000, poste 113.

Un document-cadre sur la participation publique dans la MRC Avignon sera également élaboré en 2023. Il regroupera les engagements de l’organisation ainsi que les objectifs et balises des démarches de participation publique que la MRC souhaite déployer en collaboration avec son milieu.

Source : MRC Avignon, 28 avril 2023

Le 6e Rendez-vous national du développement local se tiendra à Lévis les mardi 25 et mercredi 26 avril 2023, sous le thème 25 ans de développement local.

Avec ces centaines de participants, ce rendez-vous est organisé par la Table sur le développement local et régional. Il vise à outiller les élus·es, les directrices et directeurs généraux ainsi que les professionnels du développement des MRC et de leurs organismes délégataires afin qu’ils exercent leurs responsabilités de manière toujours plus efficace et efficiente en tant que gouvernements de proximité. Des parcours en développement économique et en développement territorial, ainsi que des parcours pour les responsables des dossiers d’immigration sont proposés aux participants. Avec ses conférences, ses ateliers et ses formations, c’est l’occasion idéale de rencontrer ceux qui soutiennent l’économie locale et régionale et de discuter des enjeux qui touchent les communautés de toutes les régions du Québec. Au programme : des panels, des conférences et des ateliers réunissant des experts des secteurs économique, territorial et d’immigration, qui traiteront des enjeux importants concernant l’avenir de nos territoires, notamment la main-d’œuvre, le repreneuriat et la régionalisation.

Pour consulter le programme et s’inscrire cliquez ICI.

Souhaitant favoriser un développement harmonieux de l’activité minière au Québec, la ministre Maïté Blanchette Vézina annonce le lancement d’une démarche participative avec la population et les intervenants régionaux et nationaux concernant l’encadrement de l’activité minière. Les consultations visent à entendre la population quant aux mécanismes d’octroi des claims, mais également à entendre des propositions constructives et innovantes.

Afin de déterminer les conditions gagnantes pour un tel développement au Québec, le gouvernement tiendra des consultations sous forme d’ateliers participatifs avec des participants et des organismes de toutes les régions du Québec, dès avril 2023. Ces ateliers permettront de renouveler le dialogue avec le grand public, les intervenants régionaux, les nations autochtones ainsi que les regroupements nationaux représentant les municipalités, les organismes de protection de l’environnement et l’industrie minière. Les citoyens pourront également envoyer des mémoires et participer en ligne grâce à une plateforme Web.

Cette démarche participative inclut également les consultations menées dans le cadre de la révision des orientations gouvernementales en aménagement du territoire (OGAT) liées à l’activité minière (OGAT-Mines).

Faits saillants :

  • Parmi les thèmes abordés dans les ateliers d’échange, on trouvera notamment : les claims et la façon de les octroyer, les retombées des activités minières et les bénéfices pour le Québec, la protection des milieux fragiles et l’harmonisation des activités sur le territoire, l’acceptabilité sociale et la prévisibilité pour les citoyens, les municipalités et l’industrie.
  • La Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire, dévoilée le 6 juin 2022 par le gouvernement du Québec, prévoit le renouvellement du cadre d’aménagement incluant notamment l’adoption de nouvelles orientations gouvernementales en aménagement du territoire. Le plan de mise en œuvre qui sera publié ce printemps présentera les modalités de ce renouvellement.

Liens connexes :

  • Pour obtenir plus d’information sur cette démarche participative, visitez la page Web à ce sujet.

Source : Cabinet de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, 17 février 2023

Le PEX est en cours de production d’une série de 14 capsules vidéo portant sur les 12 étapes de la gestion contractuelle à l’intention du personnel municipal. Deux nouvelles capsules ont été récemment ajoutées:

Capsule portant sur l’étape 1 – Définir les besoins, analyser la veille de marché et estimer les coûts

Cette capsule porte sur l’étape 1 de tout octroi de contrat, soit la définition de son besoin, son analyse de marché et son estimation des coûts. Plus cette étape aura été complétée avec soin, plus la suite du processus de gestion contractuelle en sera facilitée.

Capsule portant sur l’étape 2 – Établir la stratégie de gestion contractuelle

Cette capsule porte sur les éléments d’une bonne stratégie contractuelle et vise à sensibiliser à l’importance de bien la définir, afin de maximiser le nombre de soumissionnaires et faciliter l’exécution du contrat.

Les 4 premières capsules de cette série sont disponibles à l’adresse suivante : Série de capsules vidéo sur le processus de gestion contractuelle – Pôle d’expertise en gestion contractuelle – Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (gouv.qc.ca)

Source : Direction de la démocratie, de l’éthique et de la gestion contractuelle municipales, Direction générale des politiques, MAMH, 20 février 2023

Depuis 2019, la MRC du Val-Saint-François a tenté à trois reprises de faire reconnaître une partie de son territoire comme étant incompatibles à l’activité minière, présentant au départ une protection de plus de 60% du territoire du Val-Saint-François. Lors de la séance du Conseil du 15 février dernier, les maires et mairesses, en plus d’adopter le règlement modifiant le schéma d’aménagement de la MRC pour y intégrer des dispositions protégeant environ 40% du territoire, ont aussi demandé au gouvernement d’assouplir les règles encadrant l’identification des territoires incompatibles avec les activités minières (TIAM).

La Loi modifiant la Loi sur les mines, sanctionnée le 10 décembre 2013, donne aux MRC le pouvoir de délimiter, dans leur schéma d’aménagement, certains territoires incompatibles avec l’activité minière. Cependant, l’orientation gouvernementale actuelle ainsi que les paramètres encadrant le processus sont particulièrement contraignants et ne permettent pas de bien reconnaître les particularités de notre MRC, notamment à l’égard de l’agriculture dynamique, des territoires forestiers productifs et de la préservation des milieux naturels importants pour notre collectivité, dont les milieux humides et hydriques inscrits au Plan régional des milieux humides et hydriques (PRMHH).

Puisque la reconnaissance des particularités territoriales est depuis longtemps demandée par les municipalités, les MRC et les unions municipales, que le travail d’identification des territoires incompatibles à l’activité minière a mis en lumière les contraintes et limites du processus actuel permettant de reconnaître certains TIAM en vertu de la Loi sur les mines et que la nouvelle Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire, adoptée par le gouvernement en juin 2022, prône des milieux de vie de qualité répondant aux besoins de la population et un aménagement préservant et mettant en valeur les milieux naturels et le territoire agricole, les 18 maires de la MRC du Val-Saint-François demandent au gouvernement de revoir son orientation de manière à pouvoir protéger 60% de notre territoire.

Ils demandent également de reconnaître plus facilement, en vertu de la Loi sur les mines, les différents types d’aires protégées existant au Québec. Le gouvernement doit voir à outiller davantage les organismes de conservation en les informant des démarches à entreprendre pour faire reconnaître certaines aires protégées en vertu de la Loi sur les mines, notamment les réserves naturelles en terres privées. Le gouvernement devrait prévoir, dans le Plan de mise en œuvre de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire, prévu pour le printemps 2023, de véritables leviers et pouvoirs pour mieux prendre en compte nos particularités et aménager durablement notre territoire.

Source : MRC Le Val-Saint-François, 24 février 2023

Le marché du travail s’est redressé fortement en 2021, après l’onde de choc causée par le début de la pandémie de COVID-19. Bien que la reprise se manifeste partout sur le territoire québécois, son ampleur varie considérablement d’une municipalité régionale de comté (MRC) à l’autre. Au Québec, le nombre de travailleurs de 25 à 64 ans a augmenté de 4,3 % en 2021. Cette hausse, la plus importante depuis que ces données sont disponibles (2002), compense partiellement la chute de 5,9 % observée en 2020.

Toutes les MRC du Québec ont connu une croissance du nombre de travailleurs en 2021. Les augmentations ont été particulièrement fortes dans certaines MRC des Laurentides (notamment Les Pays-d’en-Haut), de Lanaudière (Montcalm) et de l’Estrie (Brome-Missisquoi), où le nombre de travailleurs a crû de plus de 8 % entre 2020 et 2021. Ces résultats sont tirés du bulletin Évolution du marché du travail dans les MRC – Bilan de l’année 2021 diffusé aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec.

Le nombre de travailleurs est revenu au niveau prépandémique dans moins de la moitié des MRC

Dans 41 MRC, sur les 104 que compte le Québec, le nombre de travailleurs a atteint ou dépassé le niveau enregistré en 2019. Elles se répartissent majoritairement autour de Montréal, de Québec et de Gatineau, mais sans être directement adjacentes à ces centres urbains. C’est également ce qu’on observe dans trois des six MRC de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

En revanche, dans une soixantaine de MRC, comprenant les principaux centres urbains, le nombre de travailleurs a augmenté, mais pas assez pour atteindre le niveau observé en 2019, avant la pandémie.

Ratio du nombre de travailleurs de 25 à 64 ans de 2021 sur le nombre de 2019, MRC du Québec

Ratio du nombre de travailleurs de 25 à 64 ans de 2021 sur le nombre de 2019, MRC du Québec

Sources
Institut de la statistique du Québec, exploitation des données fiscales des particuliers de Revenu Québec (données sur le taux de travailleurs).
Ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, Système sur les découpages administratifs (données sur les limites administratives).

Revenu d’emploi en forte hausse en 2021

Après la faible augmentation survenue en 2020, le revenu d’emploi médian des 25-64 ans a bondi de 9,0 % en 2021 dans l’ensemble du Québec pour atteindre 49 788 $, une hausse sans précédent depuis que ces données sont compilées.

L’augmentation est supérieure à celle observée à l’échelle provinciale dans 48 MRC et, dans 27 d’entre elles, la hausse a dépassé 10 %. Le Golfe-du-Saint-Laurent, sur la Côte-Nord, est la MRC où le revenu d’emploi a connu la plus forte hausse, soit 18,3 %.

Les MRC affichant les revenus d’emploi médians les plus élevés en 2021 se répartissent autour de Montréal, de Gatineau et de Québec, ainsi que dans les régions dont l’économie est axée sur l’exploitation minière.

À l’inverse, plusieurs MRC de la péninsule gaspésienne, tout comme les plus septentrionales des régions de l’Outaouais, des Laurentides et de Lanaudière, se classent parmi celles disposant des plus faibles revenus.

Le gouvernement du Québec annonce une révision de son Programme de restauration et de création de milieux humides et hydriques afin de permettre le dépôt de projets en continu jusqu’au 31 mars 2025. Il assouplit par ailleurs les critères du programme, pour permettre un accès élargi à l’enveloppe disponible de 113 millions de dollars via son Fonds de protection de l’environnement et du domaine hydrique de l’État.

C’est ce qu’a annoncé le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides, M. Benoit Charette, en marge du Forum national sur les plans régionaux des milieux humides et hydriques, qui s’est tenu à Québec.

Québec hausse ainsi le plafond des montants admissibles pour le volet 1, qui passera de 25 000 $ à 75 000 $, et pour le volet 2, ce dernier passant d’un million de dollars par projet à trois millions de dollars.

Rappelons que ce programme vise à restaurer des milieux humides et hydriques ou à en créer de nouveaux. Il encourage du même coup le développement de l’expertise québécoise dans ce domaine.

Faits saillants :

  • Depuis le lancement du Programme, 807 767 $ ont été octroyés pour soutenir la réalisation d’études de préfaisabilité de projets de restauration et de création de milieux humides et hydriques (volet 1), et 2 466 344 $ ont été octroyés afin de soutenir la réalisation de tels projets (volet 2). Pour le volet 1, les projets doivent être réalisés un an après la signature de la convention, tandis que, pour le volet 2, ce délai est de trois ans.
  • La mise en œuvre du Programme constitue l’une des obligations fixées dans la Loi affirmant le caractère collectif des ressources en eau et favorisant une meilleure gouvernance de l’eau et des milieux associés.
  • Ce programme contribue aussi à l’atteinte de l’une des cibles de la Stratégie québécoise de l’eau 2018-2030, soit celle visant à conserver et à restaurer les milieux aquatiques.
  • Rappelons qu’on demande aux promoteurs d’éviter ces milieux sensibles et de favoriser les projets dont les impacts sont les plus minimes possible. Des mesures de compensation sont prévues lorsqu’il n’est pas possible d’éviter de leur porter atteinte. Prenant généralement la forme de contributions financières, ces compensations sont calculées en considérant les particularités régionales du territoire concerné, l’état initial des milieux affectés, l’impact du projet sur ceux-ci et la superficie affectée.

Liens connexes :

Pour s’informer davantage sur le Programme de restauration et de création de milieux humides et hydriques : www.environnement.gouv.qc.ca/programmes/prcmhh/index.htm.

Source : Cabinet du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. 24 février 2023

Dans le cadre de la première rencontre du comité sur la marque employeur municipale de l’Union des municipalités du Québec (UMQ), qui s’est tenue vendredi dernier, plusieurs mairesses et maires se sont mobilisés pour définir des actions visant à optimiser l’attractivité et faciliter davantage le recrutement et la rétention du personnel dans le contexte global de pénurie de main-d’œuvre au sein du milieu municipal. Le comité a également comme particularité de réunir les directrices et directeurs généraux des municipalités membres du comité, et cela, pour explorer tous les angles. 

Le manque de main-d’œuvre est présentement la préoccupation principale des employeurs québécois. Le problème est généralisé et frappe également les municipalités. Le vieillissement de la population entraîne des conséquences importantes sur la quantité de main-d’œuvre disponible, et plusieurs municipalités souhaitent maintenant améliorer leur image de marque à titre d’employeur. L’enjeu est important, particulièrement dans un contexte où les municipalités offrent plusieurs services de proximité considérés comme essentiels : traitement des eaux, gestion des matières résiduelles, entretien de la voirie, sécurité publique et environnement. 

À ce sujet, l’UMQ souligne que 87 % des municipalités du Québec se disent préoccupées ou interpellées par l’enjeu de l’attractivité des emplois offerts au sein des administrations municipales. C’est pourquoi l’Union a identifié deux champs d’action prioritaires pour accompagner ses membres : positionner le milieu municipal comme un employeur de choix et valoriser l’emploi municipal. 

« Les emplois dans le secteur public ne sont pas toujours attirants pour la population. Souvent, c’est une question de perception de ce qu’offre une municipalité. Pour être plus attractives, nos approches de recrutement et de rétention du personnel doivent sortir du format traditionnel. En nous investissant dans une démarche structurée, axée sur l’authenticité, nous pourrons mettre de l’avant notre véritable valeur ajoutée. Une municipalité offre tellement de diversité de postes et une grande proximité avec notre communauté », a mentionné la présidente du comité et mairesse de Gatineau, madame France Bélisle. 

Au cours des prochains mois, l’UMQ souhaite sonder les citoyennes et citoyens pour connaître leur perception de leur municipalité comme employeur et élaborer une enquête auprès des municipalités afin d’identifier les postes les plus vulnérables à cibler dans un projet de campagne nationale de promotion visant le grand public. Le comité cherchera à développer ou partager des outils pour les municipalités (pratiques exemplaires, webinaire, séance d’information, trousse de communication, etc.). De plus, une conférence ayant pour thème « Rareté de main-d’œuvre dans les municipalités : causes, enjeux et pistes d’action » sera présentée dans le cadre des Assises 2023 de l’UMQ, qui se tiendront du 3 au 5 mai prochains, à Gatineau.  

À propos du comité sur la marque employeur municipale de l’UMQ 

Créé en décembre dernier, le comité est composé des élues et élus suivants : 

  • Mme France Bélisle, présidente du comité et mairesse de Gatineau; 
  • Mme Évelyne Beaudin, mairesse de Sherbrooke; 
  • Mme Julie Boivin, mairesse de Sainte-Anne-des-Plaines; 
  • Mme Julie Brisebois, mairesse de Senneville; à
  • M. Marc-Alexandre Brousseau, maire de Thetford Mines;  
  • M. Guy Caron, maire de Rimouski; 
  • Mme Geneviève Dubois, trésorière de l’UMQ et mairesse de Nicolet; 
  • Mme Stéphanie Lacoste, mairesse de Drummondville; 
  • Mme Liza Poulin, mairesse de Blainville; 
  • M. Louis Villeneuve, maire de Bromont. 

Source : UMQ, 27 février 2023

Madame Kim Lesage a été nommée directrice générale de la MRC de Pontiac le 15 février 2023. Madame Lesage occupait ce poste à titre intérimaire depuis novembre 2022 après le départ du précédent directeur monsieur Bernard Roy. Elle continuera d’occuper le poste de directrice de l’ingénierie et des infrastructures jusqu’à ce qu’un remplaçant soit trouvé. Elle a l’intention de superviser le département pour l’année à venir, car de nombreux projets d’infrastructure majeurs auront lieu dans plusieurs municipalités en 2023.